Gérard Gobert - Des images et des mots...
samedi 29 juin 2013
Familles en kit....
Labyrinthe et parcours fléché
De chambres claires
En cuisines
De salons moelleux
En bureaux fonctionnels
Dédale d’espaces virtuels
Que l’on dit prêts à habiter
Trompe l’œil sur un quotidien idéal
Poster de Klimt et faux champagne
PC factice, peignoir, miroir, baignoire
Et livres en suédois
Des pièces à vivre au jour le jour
Décors où l’on se joue de nous
Théâtre de la vie
Grandeur nature
Entrez en scène
Soyez vous-même
Acteur, rêveur
Consommateur
lundi 28 février 2011
mardi 15 juin 2010
mercredi 14 avril 2010
Longtemps...
Longtemps, j’ai photographié des lieux vides.
Des espaces symboliques hantés par l’homme mais déserté de lui.
Chantiers des villes ou forêts abattues, limites des eaux, ombres et reflets, marques et stigmates, traces dérisoires du quotidien.
Je voulais aborder l’humain hors de sa présence.
Par pudeur ou réserve, par décence ou timidité.
J’y reviendrai un jour, sans doute…
Aujourd’hui, j’ai tenté de m’approcher de la vie dans ce qu’elle a de plus sensible : les moments de création, de genèse, d’accouchement, de révélation…
Moments d’équilibre, moments sur un fil, fragiles, s’il n’y avait le balancier de l’œuvre.
Du regard, j’ai accompagné ces mises au monde.
Ces gestes de l’artiste, mesurés et précis.
Ces moments de réflexion et de doute.
Cette lente progression qui mène de l’esquisse à l’accomplissement.
Cette alternance nécessaire entre énergie et intériorité.
Un regard subjectif, nécessairement.
Un regard miroir où se dédoublent les gestes.
Un regard émotion quand il saisit l’instant que l’on croit décisif.
Des espaces symboliques hantés par l’homme mais déserté de lui.
Chantiers des villes ou forêts abattues, limites des eaux, ombres et reflets, marques et stigmates, traces dérisoires du quotidien.
Je voulais aborder l’humain hors de sa présence.
Par pudeur ou réserve, par décence ou timidité.
J’y reviendrai un jour, sans doute…
Aujourd’hui, j’ai tenté de m’approcher de la vie dans ce qu’elle a de plus sensible : les moments de création, de genèse, d’accouchement, de révélation…
Moments d’équilibre, moments sur un fil, fragiles, s’il n’y avait le balancier de l’œuvre.
Du regard, j’ai accompagné ces mises au monde.
Ces gestes de l’artiste, mesurés et précis.
Ces moments de réflexion et de doute.
Cette lente progression qui mène de l’esquisse à l’accomplissement.
Cette alternance nécessaire entre énergie et intériorité.
Un regard subjectif, nécessairement.
Un regard miroir où se dédoublent les gestes.
Un regard émotion quand il saisit l’instant que l’on croit décisif.
Inscription à :
Articles (Atom)